Traitement des douleurs liées à la maladie de Lapeyronie
| C’est quoi ? | C’est un traitement des douleurs pouvant apparaître lors de la phase aigüe de la maladie de Lapeyronie. Ces douleurs surviennent généralement lors de l’aggravation des symptômes (la verge continue de se tordre tandis que la plaque fibreuse continue de s’accroître).
L’application se fait sur la plaque fibreuse. |
| Durée | 6 séances, 1 ou 2 fois par semaine. |
Le déroulement du traitement
Avant de commencer, le médecin établit un diagnostic et vérifie l’éligibilité du patient. Dans le cas de la maladie de Lapeyronie, le patient doit répondre à des questionnaires tels que IIEF5 (International Index of Erectile Function – Index international de la fonction érectile), EHS (Erection Hardness Score) et T.LUE afin d’évaluer le degré de sévérité de la maladie. Un protocole sur mesure sera ensuite défini selon le profil clinique du patient.
Les résultats obtenus permettent au médecin de définir le nombre de séances. Le patient doit être dans la première phase de la maladie de Lapeyronie, c’est à dire dans la phase aigüe de la maladie (la verge continue de se tordre tandis que la plaque fibreuse continue de s’accroître).
Durant la séance de 15-20 minutes, le patient est installé confortablement en position couchée sur le dos. Le transducteur de l’appareil vient alors s’appuyer contre la zone douloureuse pour dispenser les ondes de choc.
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Les traitements possibles pour douleurs liée à la maladie de Lapeyronie
La thérapie par ondes de choc est particulièrement efficace pour diminuer les douleurs lors de la phase aigüe de la maladie de Lapeyronie.
Une autre option, qui peut être utilisée en complément du traitement Restoris, est l’utilisation d’un extenseur pénien. En effet, il permet de modifier de manière naturelle la déformation d’une verge. L’extenseur utilise le principe de traction qui stimule la croissance des corps caverneux et du reste des tissus péniens en forçant les cellules situées à l’intérieur du pénis à se multiplier par cytocinèse. Il permet ainsi de pallier en partie ou totalement à la moindre vascularisation des zones fibrosées.
Enfin, le vacuum permet de redresser efficacement une courbure dans le cas d’une maladie de Lapeyronie légère. Il peut tout à fait être utilisé en complément du traitement Restoris.
